Terre, eau, roseau

C’est une belle terre qui est devenue aride
Mais elle est restée habitée, et jamais vide
Sur la terre desséchée, un bout de roseau
Mais le lieu hier était rempli d’une vive eau

Au milieu des dures craquelures
Le roseau assoiffé a une belle allure
Mais sans eau, il tiendra pas longtemps

Il séchera certainement pour le feu
A moins que le grand Ciel bleu
Envoie son eau de grâce à temps

Et la vie se répand et gagne du terrain